
Si je ne devais en garder qu'un pour représenter 2016, ce serait Perfectly re:damaged, la ré-édition 2016 de l'album sorti en 2015 du suédois Måns Zelmerlöw et comprenant les singles Heroes, Should've gone home et Fire in the rain, mais aussi les sublimes titres Unbreakable, Someday et Fade away, qui auraient bien pu prétendre eux aussi à en être extraits.
Autre prétendant de grande valeur pop, sauf qu'en sortant en fin d'année, je pouvais difficilement m'imaginer le qualifier d'album de l'année, l'album éponyme du groupe américain DNCE, et déjà farci de tubes, Cake by the ocean, Toothbrush, Pay my rent et Body moves.

Côté retours gagnants de 2016, Rick Astley et son album écrit et produit par lui, plus soul que pop et parfois très gospellisant, les Pet Shop Boys et un Super à la promotion bien entamée par The pop kids mais mal exploité et inégal, avec de très bons titres et d'autres plus moyens. Même constant pour Wings of the wild de l'australienne Delta Goodem, globalement bon mais pas entièrement du calibre de son premier single Wings.


En terme de dancefloors, 2016 a connu son lot d'albums de très bonne facture, comme celui de Julian PERRETTA Karma, avec ses hits Miracle et I cry ainsi qu'une bonen reprise du Free d'Ultra Naté. Egalement l'album Cloud nine de Kygo, dont les premiers singles avaient donné le La aux sons clubs à la mode en 2015, Less is more de Lost Frequencies et Layers de Kungs, me rappelant le Play de Moby.


Heureusement 2017 est prometteur avec le nouveau Peter Wilson attendu pour fin Janvier, et Mike Stock qui nous annonce un album pour The Fizz et Chloe Rose...


Unfinished business, le premier album solo de l'ancien du boysband The Wanted, Nathan Sykes, a mis trop de temps à sortir si bien que le résultat ne semblait pas mériter l'attente malgré la qualité de sa soul. Idem pour le deuxième album des Lawson dont Perspective, même en version collector, souffrait la comparaison avec leur premier Chapman square. Familia de Sophie Ellis-Bextor enfin, m'a un peu déçu, d'autant que le premier extrait Come with us laissait espérer un retour disco/pop.
Enfin, toujours côté variétés internationales, 2016 nous a offert son lot de flops, avec par ordre de sorties, Rihanna et son Anti trop R&B et trop dark pour mes goûts, Britney Spears et son Glory soporifique, tout sur le même rythme midtempo et sans temps fort, et enfin Lady Gaga et son Joanne country. Sa bataille avec la Queen of Pop Madonna est terminée ; elle cible Taylor Swift maintenant mais se vautre là encore...


Julien Doré, revenu avec & et son ambiance Paris-Seychelles étendue tout le long, de - Porto Vecchio à Sublime & silence sans oublier bien sûr le sublimissime single Le lac, m'a conquis plus encore que l'album précédent, mais sorti un peu tard en 2016, ne pouvait guère prétendre au titre d'album de l'année tout de même !

De Palmas et son album La beauté du geste, concis mais ciselé, marque son retour en grâce grace à ses 10 titres forts sans rien à jeter.



Alban Bartoli et son album éclectique Je ne suis pas fou, sorti sans sans grosse major derrière,
Alex Beaupain, de retour avec Loin, dans ses pantoufles habituelles mais toujours de bonne facture,
Clément Verzi et son album éponyme compilant ses excellentes appropriations de chansons connues qui avaient fait son succès sur The Voice,
Jenifer de retour avec un Paradis secret bien dans l'ensemble mais souffrant de deux titres redhibitoires et sans vrais tubes,
Pascal Obispo et un Billet de femme symphonique et romantique à souhait,
Vincent Niclo et son 5.O frère jumeau de l'album d'Obispo, des accents de ténor plus irritant en plus par moment, mais toujours plus écoutable quand quand il était accompagné des choeurs de l'Armée rouge,
le duo Poom et leur 2016 à écouter de plus près, et sonnant à mes yeux comme les Lilicub des années 2000,
Zayra au Premier regard trop r&b dépassé, et pas assez variet' à la Amel Bent pour toucher le grand public, mais qui a eu le mérite de voir enfin un album émerger des artistes de la Star Ac' de NRJ12,
Liane Foly et son Crooneuse sous-exploité mais pourtant très génial avec ses reprises jazzy/soul,
Celine Dion enfin, bien évidemment, on ne pouvait faire l'impasse sur son Encore un soir même si, comme tous ses derniers albums francophone, il s'est révélé un peu mou du genou quand même...
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RépondreSupprimertisutelfa
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