Retour annuel sur mon blog pour poster le bilan de l'année écoulée postée au fur et à mesure des liens coups de coeur sur facebook directement, avec mon Top 25 des chansons qui ont marqué 2017 pour moi :
Loin, très loin devant les autres, la chanson de l'italien Francesco Gabbani ayant représenté son pays à l'Eurovision cette année, et que j'ai découverte alors, avec son clip génial, sa danse rigolote avec son danseur singe, ses paroles finalement profondes, une fois traduite pour les comprendre bien sûr, et son accent si craquant, surtout quand il prononce son "singin' in the rain" et que j'entends "rrrreign". Dès que j'ai découvert le clip de "Occidentali's karma" un peu avant la finale, il m'en a fallu une bonne dose quotidienne, participant pour une bonne part à l'explosion du nombre de vues Youtube de la vidéo (près de 175 millions à aujourd'hui...), et partant à la découverte de l'univers du latin singer moustachu jusqu'à devenir plus encore addict à sa pop chantée en italien, achetant ses trois albums en CD importés et n'écoutant quasiment plus que lui pendant trois, quatre mois, l'album "Magellano" particulièrement devant la bande son de l'été, et mon album de l'année de manière logique.
En seconde place, un tube plus connu, sur les radios françaises en tout cas, avec le second titre des Daft Punk concocté pour l'album de The Weeknd après "Starboy". En effet, le disco/funky "I feel it coming" m'a séduit et, à l'instar du "Happy" de Pharrell Williams ou du "Can't stop the feeling" de Justin Timberlake des années précédentes, ne m'a toujours pas lassé.
Retour gagnant cette année pour le quintet anglais dernière groupe à succès de Pete Waterman de 1998 à 2001, sans ses producteurs des débuts mais alliés aux maestros disco/dance Gingell/Stone, partenaires de studios depuis leurs années PWL et qui ont supervisé et produit leur album "Tears on the dancefloor" de mains d'experts, réussissant, à l'image de ce premier single extrait "Scared of the dark", à garder le son pop/dance feelgood d'origine et à l'upgrader pour 2017.
Après "Fall in love" l'année dernière, le beau gosse issu de la série TV "Violetta" et ancien participant du X Factor français a sorti un second single cette année, entre pop et dance franco/anglaise et son "Dreamin'" est resté toute l'année dans mon iPod, me faisant croiser les doigts pour que son interprète explose enfin sur les radios mainstream et réussisse sortir un album complet de ce calibre capable de trouver le grand public, d'autant que Damien Lauretta ne manque ni de charmes ni de talents au micro comme au piano. Son clip, très inventif dans son imagerie est aussi un beau moment à regarder et re-regarder encore et encore. Rendez-vous l'année prochaine pour plus j'espère qu'un single annuel ?!
Dans les mêmes sonorités pop/dance actuelles, et en français, j'ai bien kiffé cette année les chansons de la jeune et jolie Léa Paci, créées par ceux là mêmes qui nous ont donné mon album de l'année 2016 de Navvii, Tristan Salvati et Yohann Malory, et surtout son premier single "Pour aller où", "aller où, aller, pour aller où, aller où, aller..." ;)
Toujours en français, le trio Arcadian issu de The Voice a commencé doucement avec "Tatoué" puis "Folie arcadienne" avant que "Ton combat" n'achève de me faire succomber, dans un univers pop/folk francophone plus teinté d'électronique que leurs prédécesseurs Fréro Delavéga qui viennent de libérer de la place dans le coeur du public jeune et féminin. Leur album éponyme, s'il était trop court dans sa version originale, est devenue un pur CD d'exception augmenté de ses titres bonus dans sa ré-édition de Noël.
Extrait -sans avoir eu la chance d'être choisi comme single- de l'album éponyme du combo funky/dance/pop de Joe Jonas, "Naked" est lui aussi resté toute l'année dans ma playliste, rassemblant le meilleur de DNCE en un seul titre, comme mon numéro un de l'année dernière "Cake by the ocean"...
Si j'ai découvert ce finaliste de la saison d'American Idol sur le tard, ses singles "Can't fight it" et surtout "Can't pretend" ne m'ont toujours pas lassé, tant que ce dernier fait même partie de mes dix préférés de l'année.
Dans sa version originale ou un peu plus électro du remix des We Are Ivy, le single "Echo" de la nouvelle venue Lili Poe, version plus mature à mon sens du single de Léa Paci, a su pareillement combler mes tympans tout au long de l'année.
Premier single solo de l'ex One Direction, "Sign of the times" a été choisi à la perfection, entre rock Stonien et pop planante, tant qu'Harry Styles a réussi à faire oublier son passé et à se réinventer en popstar solo, même si le reste de son album ne fut pas à la hauteur...
Association gagnante pour David Guetta avec Justin Bieber et un "2U" inspiré de ses tubes passé et beaucoup plus à la hauteur de mes attentes électro/house que ses autres singles récents avec raps et sonorités blip-blip.
Single du retour solo de Nadine Coyle, "Go to work" marquait le retour du leader vocal incontournable du girlsband anglais Girls Aloud avec leurs producteurs fétiches, Brian Higgins et son équipe Xenomania, pour un titre génialement addictif qui ien sûr s'est incrusté dans ma playliste dès sa sortie en Septembre.
Second single solo d'un ancien de One Direction, "Strip that down" de Liam Payne voit le fiancé de l'ex Girls Aloud Cheryl Tweedy, ex Cole et ex Fernandez-Versini, la rejoindre dans l'univers pop/R&B moite et sexy, et qui dans ce cas a aussi bien fonctionné pour rester sur mon iPod.
Egalement issu des chansons perdantes au concours de l'Eurovision mais gagnante dans mon coeur, le percutant "I feel alive" interprété par l'Israelien Imri est resté tout l'été en bonne place de mes chansons dance préférées, grace à sa rythmique implacablement tribale et au chant inspiré de son interprète.
Quand P!nk ajoute un peu d'électro à sa pop/rock habituelle, ça donne "What about us", avec son magnifique clip chorégrapié et un carton plein qui la fait basculer dans mon Top 15 de l'année !
Dernier extrait en date de l'excellent album "&" de Julien Doré, "Porto-Vecchio" s'est vu offrir un clip en toute fin d'année mais a servi toute l'année de single promotionnel rendant parfaitement compte de l'atmosphère pop ouatée désormais sienne.
Second titre de mon Top25 de l'année à ne même pas être sorti en single, "1987" de Calogero l'est devenu à mes yeux dès la première écoute de son dernier album "Liberté chérie". Entre ses paroles rendant hommage aux années 80 et son petit gimmick addictif n'étant pas sans rappeler celui de "Dis-moi que l'amour" de Marc Lavoine et Bambou de 2003, cet uptempo plus pop que rock est obligé de sortir en single, même si pour l'heure, c'est le romantique "Fondamental" qui a été choisi pour succéder à "Je joue de la musique".
Découvert sur le tard grace à son remix éléctro et dans sa version anglaise/française en duo masculin/féminin, le "Rusty" de Hein Cooper se révèle intemporel et addictif, avec son charme laidback ensoleillé.
Après avoir essayé l'aventure solo sans succès mais avoir eu plus de réussite pour d'autres comme Amir, avec qui il a écrit et composé ses deux albums, Nazim a retenté sa chance avec ce "Pourquoi veux-tu que je danse ?" festif et légèrement ethnique, pas assez en tout cas pour qu'il ne me rentre pas dans la tête, au point qu'il surclasse même dans mon top quelques valeurs sûres comme Christophe Willem ou Cassandre.
Le single du retour de Paul Varney, signé par le label Energise recyclant notamment tous les anciens de PWL, m'avait plus mais pas asez pour sortir du lot des bons titres pop de l'année, en tout cas jusqu'à ce que sorte sa version acoustique. Bizarrement, c'est dans cette version que "Kiss and make up" a pris le plus de relief et est sorti du lot, la voix soul de Paul Varney le rendant parfait.
Autre titre à avoir pris plus d'ampleur grace à un remix, "Story of a heart" de Steps, qui était une ballade inédite de Benny et Björn de ABBA parfaite en second extrait de l'album du retour du supergroupe anglais, est devenue incontournable une fois remixée uptempo par les anciens d'Almighty 7th Heaven, second duo maître d'oeuvre du retour gagnant de Steps.
Dernier rescapé des sélections de l'Eurovision à surnager et intégrer mon Top25, "I can't go on" du suédois Robin Bengtsson copiait l'esprit du tube de Justin Timberlake "Can't stop the feeling" sans en avoir la magie. C'est toutefois suffisant pour rester un de mes tubes de l'année.
Tandis que la planète entière élevait la scie reggaton hispanisante de Luis Fonsi et Cie tube de l'été, moi, je succombais au "Summer soul" du latin lover biberonné chez Disney Jorge Blanco, et ça restera mon hit de l'été 2017 ;).
Single du retour cette année de Christophe Willem, "Marlon Brando" le voyait revenir dans sa zone de confort funky/pop éprouvée déjà sur "Caféïne" notamment, mais avec un titre non présent dans sa punchline du refrain. Sa vidéo inspirée du "Truman Show" de Jim Carrey a permis de relancer le single dans les médias avant la sortie de l'album "Rio".
Premier extrait du dernier album de Katy Perry, "Bon appétit" a bénéficié d'un clip génial et d'un refrain francophile qui reste bien en tête. C'est ce qui lui permet de passer devant Bielfield et son "Kings & Queens", Caroline en duo avec Nico Liliu sur "Maintenant", Cassandre et l'inédit "Paris la nuit", Charlie Boisseau et son "J'en ai des tas" ou les autres singles de Francesco Gabbani que j'ai écoutés toute l'année, "In equilibrio" extrait de son précédent album, "Pachidermi e pappagalli" et son clip magnifique, ou son tube de l'été en Italie "Tra le granite e le granate".
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