Son French cancan nous a envahi les oreilles tout l'été et si j'ai bien résisté au début, plus irrité que charmé par le couplet sans queue ni tête jouant simplement sur les sonorités "Coco choco Chanel & chocolat...", je dois avouer finalement m'être laissé surprendre à fredonner ce Monsieur Sainte Nitouche finalement très Motown-ien au refrain charmant et à son clip amusant où j'ai vu comme une ode à Monsieur Saint Laurent. De là à acheter l'album de la belle, il y avait quand même comme un fossé mais le second extrait, La fille du Lido, lui, m'a dès le début conquis et je me suis décidé à lui donner le temps d'une écoute dès sa sortie lundi dernier et... me suis acheté le CD jeudi en repérant des idées de cadeaux de fin d'année...
D'origine Malienne, la belle Inna, - à ne pas confondre avec la reine du dancefloor, Inna tout court, ou Inna, la roumaine -, Modja donc de son nom de scène, bien que Bocoum de son nom de famille, n'en est pas à son coup d'essai puisque c'est en 2009 que paraît son premier album, Everyday is a new world, soul/folk acoustique bluesy finalement proche de ce que fait Jason Mraz avec qui la belle se fit remarquer sur un Taratata, avant de sortir en single It's alright et surtout un sautillant Mister H moins mélancolique que la tonalité générale de l'album. Je ne m'étais intéressé à son cas que par hasard lorsqu'elle reprit Des'Ree avec un Life plus pétillant et déjà inspiré de la soul américaine période Motown comme ses nouveaux titres.
Vu la couverture médiatique de son French cancan cet été, il me fut impossible de louper son retour et comme je le disais plus haut, je me laissais embarquer comme malgré moi, plus encore que par sa version de Life que je m'étais finalement contenté d'apprécier comme une reprise que l'on épingle dans sa collection de covers. C'est bien La fille du Lido qui changea tout puisque, tout en continuité français/anglais Motown-esque avec son tube précédent, ce nouveau single a l'avantage d'avoir un refrain immédiatement accrocheur et mémorisable, avec ses paroles en français qui se retiennent bien et une rythmique imparable qui fait battre la mesure donne envie de se lever pour remuer du popotin... Bien que plus diversifié, sa Love Revolution m'a donc suffisamment plu lors des previews pour que je l'emporte chez moi et occupe même sa place dans mon blog ; la consécration, quoi ! LOL
Presque entièrement écrit à quatre mains avec Alexandre Azaria, qui réalise le tout également, cet album semble être le bébé d'une belle rencontre artistique et a manifestement été réalisé dans la bonne humeur, puisque ça s'entend et que la jeune et belle chanteuse semble bien plus épanouie et en phase avec son âge sur les rythmiques de ce second opus que sur ceux de son précédent album, finalement triste à mourir...
L'album démarre doucement avec de doux choeurs presque gospel qui déroulent le tapis rouge pour la voix d'Inna Modja sur un Big apple tout en anglais qui cache bien son jeu et enrole très vite des cuivres et une sympathique rythmique soul qui élève le morceau de son intro plus lente. Dès ce premier titre, l'esprit Motown est dans la place et je sens qu'il ets là pour rester tout du long !
Kinks in my hair enchaîne toujours plus gospel/soul avec des choeurs omniprésents pour ce deuxième titre tout en anglais, et je comprends que le français/anglais des deux singles n'est finalement qu'une accroche pour les radios (et le public) pour biaiser leur politique des quotas et être playlistée. Ce nouveau titre toujours uptempo fait cependant la place un peu trop belle aux choeurs plus puissants que la voix lead d'Inna je pense car c'est Angie Cazaux-Berthias (créditée aux choeurs de tout l'album) qui remporte mon coeur...
Heureusement, c'est French cancan (Monsieur Sainte Nitouche) qui suit et on est en territoire connu avec ce méga-tube de l'année 2011. A part l'effet répétitif "coco/chanel" dont je parlais précédemment, j'aime finalement beaucoup cette ritournelle entrainante qui, il faut bien le reconnaître, a un refrain imparable qui se vrille dans la tête et ne veut plus en sortir pour el reste de la journée ! Soutenu par son clip amusant et sexy, ce n'était que justice qu'il trouve son public...
Une guitare sèche démarre le morceau suivant et l'ambiance redescend pour retrouver la mélancolie folkeuse que j'avais entraperçue sur son premier album, sauf que ce You love me n'est pas si triste et morne que ça ; la mélodie va et vient comme une rivière autour du texte, une nouvelle fois 100% en engliche, et je me surprends à dodeliner de la tête en rythme... Bon signe, ça !
Emily, le titre suivant qui s'étire sur plus de cinq minutes, récupère une ryhtmique plus appuyée pour un titre qui se fait plus symphonique avec des arrangements de cordes qui entourent bien le clavier très présent des couplets mais se fondent plus dans le refrain en wall of sound Spector-ien. Là encore, l'univers est philly-retro américain mais j'aime bien.
"L-I-D-O, un jour ce sera L-I-D-O, la fille du Lido..." entonne joyeusement Inna et le second tube de l'album ramène de la fraîcheur et de la légèreté. S'il ressemble à French cancan, ce n'est pas seulement parce que La fille du Lido alterne de la même manière couplets en anglais et refrain en français sur une rythmique d'inspiration 60's bien appuyée, mais aussi et surtout parce que les paroles de ce second single continuent la thématique franco sexy Parisienne de la belle de la mode / cabaret. Son clip est plus sexy encore que le précédent et Inna Modja capture vraiment l'oeil du spectateur autant que ses nouvelles chansons lui vole son coeur. La prononciation de l'alphabet du nom du cabaret, finalement très américaine (à la L.O.V.E.), apporte une touche encore plus addictive à la chanson lors du break comme il avait d'emblée pris place dans l'intro et je me dis que le duo Inna Modja / Alexandre Azaria n'use que de bonnes ficelles pour se tisser des tubes.
For my land, qui suit et semble dédié à son Mali d'origine, sonne presque inspiré des bayous de New Orleans même si on n'est pas non plus complètement dans l'esprit cajun non plus ! A nouveau 100% en anglais, c'est en tout cas un titre d'album fort où la belle exilée chante ses racines.
Retour du français sur I'm smiling et cette fois, surprise!, c'est sur les couplets, l'anglais se préservant pour le refrain. La recette mélodique est également différente des deux singles précédents, moins pop insouciante mais toujours très rythmée et accrocheuse... Futur single prévu ? J'aime particulièrement l'accroche pré-refrain "Je veux vivre à la cool comme un rasta man du Mali..." où la voix d'Inna se fait presque gutturale. A noter que ce titre est le seul qu'Inna n'a pas co-écrit avec Azaria, mais avec Rémi Lacroix, ce qui explique peut-être la différence d'inspiration du morceau.
Une guitare bluesy démarre le titre suivant, Homeless, au texte fort de sens mais au refrain qui n'en oublie pas moins d'être très mélodique et presque tubesque de simplicité : un morceau qui devrait prendre toute sa dimension sur scène, repris en choeur par le public. Je ne peux m'empêcher d'y voir un de mes titres préférés bien que cette guitare qui gratouille totu du long ne fasse pas partie du tout de mes sons chéris habituels...
Ex-girlfriend repart dans la soul sirupeuse avec ses cordes et cuivres généreux, sa caisse claire qui tambourine en ouverture de refrain et l'on se croit à Philladelphie à écouter une émission mythique américaine où Inna croiserait Otis, Aretha et autres sources d'inspiration manifestes du duo ; bon titre de fin d'album, mais pas assez accrocheur pour en être extrait en single...
Spirit enchaîne et c'est déjà la fin du tracklisting de l'album tel que noté sur la pochette de mon CD. Avec ses couplets plus parlés que chantés et son long texte presque slammé sur des cordes magnifiques comme Benjamin Biolay sait paraît ses morceaux, cette ultime nouvelle compo allonge un peu plus le plaisir finalement et c'est ce titre qui donne le titre à son album puisqu'elle y chante que la "Love evolution is the new revolution". Le refrain planant se fait presqu'incantatoire avec la voix d'Inna qui s'y mélange avec les choeurs. Ça aurait fait une belle fin d'album sauf qu'on a droit à des bonus !
D'abord Life, le single hors album de l'année dernière et reprise de Des'Ree, dans un arrangement finalement très annonciateur de la route que la belle allait emprunter, puisqu'à la rythmique presque identique à ses deux singles de 2011, et aux arrangements riches et chauds, sirupeux à vous couler dans les oreilles comme du miel sonore réconfortant pour l'âme.
C'est ensuite la version anglaise de French cancan qui se fait sa place en bonus sur mon CD, avant son remix par Cutee B, et le "Monsieur Sainte Nitouche" devient "Monsieur Scandalous" même si "je suis enchantée" reste inchangé, de même que les coco-choco-chanel-chocolat, bizarrement moisn énervants...?
Enfin, le remix électro clôt l'album comme un cheveux sur la soupe car même s'il est réussi et qu'il place le titre dans un style que j'aime beaucoup, il remet la musique d'Inna Modja dans le son d'aujourd'hui alors qu'elle s'est évertuée tout au long de l'album de s'en échapper pour mieux replonger dans la musique américaine 60's/70's et y puiser son inspiration. M'enfin, je ne vais pas m'en plaindre puisque c'est ce genre de remix qui souvent me fait apprécier une chanson que je trouve fade sinon, et elle montre surtout que la jeune chanteuse ne perd pas pour autant pied avec la jeunesse actuelle...
Résultat des courses : de la pop/soul tour à tour pétillante et vibrante et un virage à 180° salvateur pour l'Inna Modja morte vivante rencontrée du temps de son premier album. Dommage cependant qu'il n'y ait pas d'autres Fille du Lido sur le CD, même pas un petit remix électro !
D'origine Malienne, la belle Inna, - à ne pas confondre avec la reine du dancefloor, Inna tout court, ou Inna, la roumaine -, Modja donc de son nom de scène, bien que Bocoum de son nom de famille, n'en est pas à son coup d'essai puisque c'est en 2009 que paraît son premier album, Everyday is a new world, soul/folk acoustique bluesy finalement proche de ce que fait Jason Mraz avec qui la belle se fit remarquer sur un Taratata, avant de sortir en single It's alright et surtout un sautillant Mister H moins mélancolique que la tonalité générale de l'album. Je ne m'étais intéressé à son cas que par hasard lorsqu'elle reprit Des'Ree avec un Life plus pétillant et déjà inspiré de la soul américaine période Motown comme ses nouveaux titres.
Vu la couverture médiatique de son French cancan cet été, il me fut impossible de louper son retour et comme je le disais plus haut, je me laissais embarquer comme malgré moi, plus encore que par sa version de Life que je m'étais finalement contenté d'apprécier comme une reprise que l'on épingle dans sa collection de covers. C'est bien La fille du Lido qui changea tout puisque, tout en continuité français/anglais Motown-esque avec son tube précédent, ce nouveau single a l'avantage d'avoir un refrain immédiatement accrocheur et mémorisable, avec ses paroles en français qui se retiennent bien et une rythmique imparable qui fait battre la mesure donne envie de se lever pour remuer du popotin... Bien que plus diversifié, sa Love Revolution m'a donc suffisamment plu lors des previews pour que je l'emporte chez moi et occupe même sa place dans mon blog ; la consécration, quoi ! LOL
Presque entièrement écrit à quatre mains avec Alexandre Azaria, qui réalise le tout également, cet album semble être le bébé d'une belle rencontre artistique et a manifestement été réalisé dans la bonne humeur, puisque ça s'entend et que la jeune et belle chanteuse semble bien plus épanouie et en phase avec son âge sur les rythmiques de ce second opus que sur ceux de son précédent album, finalement triste à mourir...
L'album démarre doucement avec de doux choeurs presque gospel qui déroulent le tapis rouge pour la voix d'Inna Modja sur un Big apple tout en anglais qui cache bien son jeu et enrole très vite des cuivres et une sympathique rythmique soul qui élève le morceau de son intro plus lente. Dès ce premier titre, l'esprit Motown est dans la place et je sens qu'il ets là pour rester tout du long !
Kinks in my hair enchaîne toujours plus gospel/soul avec des choeurs omniprésents pour ce deuxième titre tout en anglais, et je comprends que le français/anglais des deux singles n'est finalement qu'une accroche pour les radios (et le public) pour biaiser leur politique des quotas et être playlistée. Ce nouveau titre toujours uptempo fait cependant la place un peu trop belle aux choeurs plus puissants que la voix lead d'Inna je pense car c'est Angie Cazaux-Berthias (créditée aux choeurs de tout l'album) qui remporte mon coeur...
Heureusement, c'est French cancan (Monsieur Sainte Nitouche) qui suit et on est en territoire connu avec ce méga-tube de l'année 2011. A part l'effet répétitif "coco/chanel" dont je parlais précédemment, j'aime finalement beaucoup cette ritournelle entrainante qui, il faut bien le reconnaître, a un refrain imparable qui se vrille dans la tête et ne veut plus en sortir pour el reste de la journée ! Soutenu par son clip amusant et sexy, ce n'était que justice qu'il trouve son public...
Une guitare sèche démarre le morceau suivant et l'ambiance redescend pour retrouver la mélancolie folkeuse que j'avais entraperçue sur son premier album, sauf que ce You love me n'est pas si triste et morne que ça ; la mélodie va et vient comme une rivière autour du texte, une nouvelle fois 100% en engliche, et je me surprends à dodeliner de la tête en rythme... Bon signe, ça !
Emily, le titre suivant qui s'étire sur plus de cinq minutes, récupère une ryhtmique plus appuyée pour un titre qui se fait plus symphonique avec des arrangements de cordes qui entourent bien le clavier très présent des couplets mais se fondent plus dans le refrain en wall of sound Spector-ien. Là encore, l'univers est philly-retro américain mais j'aime bien.
"L-I-D-O, un jour ce sera L-I-D-O, la fille du Lido..." entonne joyeusement Inna et le second tube de l'album ramène de la fraîcheur et de la légèreté. S'il ressemble à French cancan, ce n'est pas seulement parce que La fille du Lido alterne de la même manière couplets en anglais et refrain en français sur une rythmique d'inspiration 60's bien appuyée, mais aussi et surtout parce que les paroles de ce second single continuent la thématique franco sexy Parisienne de la belle de la mode / cabaret. Son clip est plus sexy encore que le précédent et Inna Modja capture vraiment l'oeil du spectateur autant que ses nouvelles chansons lui vole son coeur. La prononciation de l'alphabet du nom du cabaret, finalement très américaine (à la L.O.V.E.), apporte une touche encore plus addictive à la chanson lors du break comme il avait d'emblée pris place dans l'intro et je me dis que le duo Inna Modja / Alexandre Azaria n'use que de bonnes ficelles pour se tisser des tubes.
For my land, qui suit et semble dédié à son Mali d'origine, sonne presque inspiré des bayous de New Orleans même si on n'est pas non plus complètement dans l'esprit cajun non plus ! A nouveau 100% en anglais, c'est en tout cas un titre d'album fort où la belle exilée chante ses racines.
Retour du français sur I'm smiling et cette fois, surprise!, c'est sur les couplets, l'anglais se préservant pour le refrain. La recette mélodique est également différente des deux singles précédents, moins pop insouciante mais toujours très rythmée et accrocheuse... Futur single prévu ? J'aime particulièrement l'accroche pré-refrain "Je veux vivre à la cool comme un rasta man du Mali..." où la voix d'Inna se fait presque gutturale. A noter que ce titre est le seul qu'Inna n'a pas co-écrit avec Azaria, mais avec Rémi Lacroix, ce qui explique peut-être la différence d'inspiration du morceau.
Une guitare bluesy démarre le titre suivant, Homeless, au texte fort de sens mais au refrain qui n'en oublie pas moins d'être très mélodique et presque tubesque de simplicité : un morceau qui devrait prendre toute sa dimension sur scène, repris en choeur par le public. Je ne peux m'empêcher d'y voir un de mes titres préférés bien que cette guitare qui gratouille totu du long ne fasse pas partie du tout de mes sons chéris habituels...
Ex-girlfriend repart dans la soul sirupeuse avec ses cordes et cuivres généreux, sa caisse claire qui tambourine en ouverture de refrain et l'on se croit à Philladelphie à écouter une émission mythique américaine où Inna croiserait Otis, Aretha et autres sources d'inspiration manifestes du duo ; bon titre de fin d'album, mais pas assez accrocheur pour en être extrait en single...
Spirit enchaîne et c'est déjà la fin du tracklisting de l'album tel que noté sur la pochette de mon CD. Avec ses couplets plus parlés que chantés et son long texte presque slammé sur des cordes magnifiques comme Benjamin Biolay sait paraît ses morceaux, cette ultime nouvelle compo allonge un peu plus le plaisir finalement et c'est ce titre qui donne le titre à son album puisqu'elle y chante que la "Love evolution is the new revolution". Le refrain planant se fait presqu'incantatoire avec la voix d'Inna qui s'y mélange avec les choeurs. Ça aurait fait une belle fin d'album sauf qu'on a droit à des bonus !
D'abord Life, le single hors album de l'année dernière et reprise de Des'Ree, dans un arrangement finalement très annonciateur de la route que la belle allait emprunter, puisqu'à la rythmique presque identique à ses deux singles de 2011, et aux arrangements riches et chauds, sirupeux à vous couler dans les oreilles comme du miel sonore réconfortant pour l'âme.
C'est ensuite la version anglaise de French cancan qui se fait sa place en bonus sur mon CD, avant son remix par Cutee B, et le "Monsieur Sainte Nitouche" devient "Monsieur Scandalous" même si "je suis enchantée" reste inchangé, de même que les coco-choco-chanel-chocolat, bizarrement moisn énervants...?
Enfin, le remix électro clôt l'album comme un cheveux sur la soupe car même s'il est réussi et qu'il place le titre dans un style que j'aime beaucoup, il remet la musique d'Inna Modja dans le son d'aujourd'hui alors qu'elle s'est évertuée tout au long de l'album de s'en échapper pour mieux replonger dans la musique américaine 60's/70's et y puiser son inspiration. M'enfin, je ne vais pas m'en plaindre puisque c'est ce genre de remix qui souvent me fait apprécier une chanson que je trouve fade sinon, et elle montre surtout que la jeune chanteuse ne perd pas pour autant pied avec la jeunesse actuelle...
Résultat des courses : de la pop/soul tour à tour pétillante et vibrante et un virage à 180° salvateur pour l'Inna Modja morte vivante rencontrée du temps de son premier album. Dommage cependant qu'il n'y ait pas d'autres Fille du Lido sur le CD, même pas un petit remix électro !
Il se veutb fort sympathique de découvrir une critique de cet album qui me tente énormément étant séduit par les deux singles et nottamment "La fille du Lido" qui me rend encore plus accroc que je ne l'étais avec le tube de cet été!
RépondreSupprimerDeux singles qui m'ont donné l'envie respectivement d'y consacrer un article, alors pourquoi pas me laisser tenter maintenant par l'album...
trés trés bel article!! En effet j'ai écouté l'album rapidement sur internet et j'avais bien aimé, ça me donne vraiment envie de l'acheter!! d'ailleurs j'y cours!!! felicitation pour la prose!! et vive le LOVE REVOLUTION!!
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