Here is the beautiful -but a little sad- video for Kylie Minogue's new single, Flower, from her soon to be released now compilation The Abbey Road sessions.
mardi 25 septembre 2012
dimanche 23 septembre 2012
Démarrage de la saison 4 de Glee aux USA
La semaine dernière démarrait la saison 4 de la série Glee avec un premier épisode intitulé "The New Rachel", et un second épisode dédié aux chansons de Britney Spears, "Britney 2.0" enchaînait cette semaine, cherchant sans doute à bénéficier de l'attrait de la star qui vient de démarrer au casting des juges de la seconde saison made in US du X Factor. Alors que la fin de la saison 3 a vu une partie du groupe de la chorale de McKinley obtenir son diplôme et se retrouve donc cette année hors de l'école et de la chorale, beaucoup de spéculations ont été faites sur l'avenir dans la série de ces personnages principaux. Si Ryan Murphy a déclaré qu'aucun personnage n'allait disparaître, il faut bien supposer que des élèves diplômés ne vont plus apparaître autant à partir de cette saison et les deux premiers épisodes diffusés en sont bien un indicateur... Alors que se passe-t-il dans Glee saison 4 ?
D'abord, rassurez-vous, le personnage de Rachel Berry reste au coeur de l'intrigue puisqu'on la retrouve à New York, où elle intègre la prestigieuse école des arts NYADA, et doit y faire face à une prof de danse amère qui la prend en grippe et lui mène la vie dure, interprétée par l'actrice Kate Hudson. Elle rencontre dans la salle de bains commune du dortoir en pleine nuit un bel étudiant dénudé chantant sous la douche (comme Finn le faisait quand il fut découvert par son professeur en première saison), et ce bel éphèbe va devenir son mentor, ami et soutient, tout en lui déclarant sa flamme, ce qui laisse présager d'un nouvel arc amoureux de l'intrigue : Rachel va-telle réussir à oublier Finn, lequel est parti s'engager dans l'armée pour lui laisser le champ libre pour sa carrière ? Notez qu'on ne l'a pas encore revu dans cette quatrième saison... Ce nouveau venu aux yeux clairs et abdos d'acier, Brody, est interprété par l'artiste né sud-africain Dean Geyer, qui s'est fait connaître en concourant dans la nouvelle star australienne en 2006. Il y a fini 3ème et a publié un album pop/rock, Rush, en 2007, avant de jouer dans le soap télé Neighbours, celui-là même qui a révélé Kylie Minogue ou Jason Donovan dans les années 80.
Dans les scènes interprétées à New York, on retrouve également Whoopi Goldberg qui reprend son rôle de sélectionneuse au NYADA, mais aussi le personnage de Kurt Hummel qui, bien qu'il ait échoué aux sélections, décide, épaulé par son père, de monter rejoindre sa copine Rachel pour tenter de percer et de retenter sa chance aux sélections du deuxième trimestre. Ainsi, après avoir aidé M. Schuester à trouver de nouveaux candidats pour le Glee club, il arrive dès le second épisode à New York en co-locataire d'un loft miteux avec Rachel. Sarah-Jessica Parker, l'inoubiable héroïne de Sex and the City, devrait compléter ce casting New-Yorkais également dès la semaine prochaine, pour devenir le mentor es mode de Kurt au sein du magazine Vogue.
En Ohio, on retrouve donc sur les bancs du Glee Club les élèves restants, à savoir ceux du début, Artie, Brittany, Tina, mais aussi Blaine Anderson et Sam Evans ainsi que Sugar Motta et Joe Hart. Mercedes. Noah "Puckerman", Quinn ou Santana, comme Mike Chang, Finn, Kurt et Rachel, ont quitté l'école, et si l'acteur Mark Salling apparaît dans le second épisode pour accompagnée l'arrivée de son demi-frère au Glee Club, on comprend bien qu'il est installé à L.A. maintenant. Santana ne fait qu'une brève apparition dans un video chat avec Brittany et on ne voit pas les autres, pas plus que Rory l'irlandais. Comme pour remplacer Mercedes dans le rôle de la diva black en surpoids, la chorale accueille Wade Adams, issu comme Joe ou Rory de la première version du Glee Project, et que l'on avait découvert l'année dernière dans une chorale concurrente. Très vite apparaît-il grimmé en personnage transexuel "Unique" et c'est assez rare à la télévision pour le noter... Les auditions du premier épisode laissent présager deux nouvelles recrues, Marley Rose, interprétée par Melissa Benoist, qui devient "la nouvelle Rachel" (bien qu'elle n'en ait pas la voix si vous voulez mon avis) et semble proche du personnage de Sam, pauvre et fille de la cantinière obèse de l'école, ainsi que Jake Puckerman, interprété par la gueule d'amour Jacob Artist, demi-frère de Noah qui comble le vide du rebelle au grand coeur. A noter l'arrivée prochaine aussi du lauréat du casting télévisé saison 2 du Glee Project, Blake Jenner, avec un look qui devrait le câler sur la voie de Finn. Vocalement, ces nouvelles recrues me semblent plus light que les acteurs d'origine tels Lea Michele, Darren Criss ou Amber Riley mais ils ne déméritent cependant pas lors des numéros de ces deux premiers épisodes.
En Ohio, on retrouve donc sur les bancs du Glee Club les élèves restants, à savoir ceux du début, Artie, Brittany, Tina, mais aussi Blaine Anderson et Sam Evans ainsi que Sugar Motta et Joe Hart. Mercedes. Noah "Puckerman", Quinn ou Santana, comme Mike Chang, Finn, Kurt et Rachel, ont quitté l'école, et si l'acteur Mark Salling apparaît dans le second épisode pour accompagnée l'arrivée de son demi-frère au Glee Club, on comprend bien qu'il est installé à L.A. maintenant. Santana ne fait qu'une brève apparition dans un video chat avec Brittany et on ne voit pas les autres, pas plus que Rory l'irlandais. Comme pour remplacer Mercedes dans le rôle de la diva black en surpoids, la chorale accueille Wade Adams, issu comme Joe ou Rory de la première version du Glee Project, et que l'on avait découvert l'année dernière dans une chorale concurrente. Très vite apparaît-il grimmé en personnage transexuel "Unique" et c'est assez rare à la télévision pour le noter... Les auditions du premier épisode laissent présager deux nouvelles recrues, Marley Rose, interprétée par Melissa Benoist, qui devient "la nouvelle Rachel" (bien qu'elle n'en ait pas la voix si vous voulez mon avis) et semble proche du personnage de Sam, pauvre et fille de la cantinière obèse de l'école, ainsi que Jake Puckerman, interprété par la gueule d'amour Jacob Artist, demi-frère de Noah qui comble le vide du rebelle au grand coeur. A noter l'arrivée prochaine aussi du lauréat du casting télévisé saison 2 du Glee Project, Blake Jenner, avec un look qui devrait le câler sur la voie de Finn. Vocalement, ces nouvelles recrues me semblent plus light que les acteurs d'origine tels Lea Michele, Darren Criss ou Amber Riley mais ils ne déméritent cependant pas lors des numéros de ces deux premiers épisodes.
Musicalement justement, le premier épisode voit le tube de l'été de Carly Rae Jepsen, Call me maybe, être repris par les quatre candidats potentiels à la succession de Rachel au sein du Glee Club, soit Brittany, Blaine, Tina & Wade "Unique". Avec la reprise en solo d'Adele, Chasing pavements, qui clôture l'épisode, c'est en fait Marley Rose qui remporte la place au milieu des limelights. Le nouveau "jeune" Puckerman interprète Never say never de The Fray et Blaine It's time, d'un groupe pop/rock US inconnu dans nos contrées, Imagine Dragons, et ces deux titres moins connus m'ont laisser de marbre. Heureusement, Rachel et Marley reprennent un beau New York state of mind de Billy Joel mixé en duo et la bonne surprise du premier épisode est le mash-up interprété par Kate Hudson, et superbement chorégraphié, sur Americano de Lady Gaga et Dance again de J.Lo.
Le second épisode, comme son nom l'indique est consacré à des chansons de Britney Spears, mais deux d'entre-elles sont néanmoins couplées en mash-up, You drive me crazy avec Crazy d'Aerosmith (avec Marley Rose et Jake Puckerman en duo) et Boys avec le Boyfriend de Justin Bieber (avec Blaine et Artie aux voix). Sinon, Brittany reprend Hold it against me, avec une belle choré des pom-pom girls (avec leur nouvelle cheftaine Kitty, interprétée par Becca Tobin, même si l'on ignore si son rôle prendra le micro ou pas), ainsi que Gimme more, façon lip-sync mal chanté comme Britney l'avait fait au pire moment de sa carrière. En fait, ce nouvel épisode s'appuie sur les bas de la carrière de la star pour en faire un parallèle avec la manière dont Brittany, exclue des Cheerios et délaissée par Santana, se laisse couler et toucher le fond aux yeux de tous, pour mieux revenir en forme et au top, comme Britney l'a fait avec le X Factor déclare-t-elle même à Sam en confidence. Est-ce réellement un hommage à la star ?
Toujours est-il que les fans, eux, se sont déclarés déçu de ce second épisode dédié à leur Britney... Wade, Tina et Marley Rose se partagent un Womanizer vantant le sex-appeal du nouveau Jacob Artist, la guitare en bandoulière, et il est en effet indéniable que son recrutement, avec celui de Dean Geyer, est destiné à faire fondre le coeur des jeunes télépsectatrices ! En solo, Marley Rose encore reprend la ballade Everytime et c'est un beau moment mélancolique qui clôture l'épisode, mais le morceau de bravoure c'est bel et bien la seule et unique Lea Michele qui se l'accapare, son personnage Rachel interprétant une belle chorégraphie devant son prof de danse sur un très bon Oops! ...I did it again. C'est dans les vieux pots que l'on fait les meilleures soupes et il est heureux que les créateurs ne négligent pas leurs anciennes stars pour nous offrir le meilleur. J'allais oublier, Tina, Joe & Sam reprennent en accoustique le 3 vantant les joies du trio et extrait du dernier Best of de la miss, et c'est une intéressante façon de redécouvrir les paroles, finalement osées puisqu'à double sens, de Britney Spears... Cette saison semble en tout cas augurer d'un renouveau. Reste à savoir si les audiences US sauront lui garantir un renouvellement ou pas.
mercredi 19 septembre 2012
Jenifer & moi, l'amour fou pour son nouvel album !
Le 17 Septembre était une date marquée à mon calendrier d'une pierre blanche. J'avais même prolongé ma semaine de vacances post-saison estivale d'un jour histoire de pouvoir me rendre le jour même à ma fnac locale pour le plaisir de me procurer les CD sortant ce jour là direct dans les bacs et retrouver les sensations, l'excitation du défilmage et de la découverte comme avant l'ère iTunes et Amazon. Côté sorties, j'avais retenu Mika, Jenifer, Pink et peut-être Carly Rae Jepsen. Au final, après avoir écouté les extraits des quatre albums, j'ai évidemment acheté Mika et Jenifer ainsi que la jeune canadienne plutôt que son aînée américaine, à la pop de plus en plus (trop) musclée rock pour moi. C'était une sélection très pink power, d'autant que les pochettes de Jenifer et Carly sont rose bonbon... Pas déçu pour un sous après quelques écoutes, j'avoue préférer pour le moment l'opus de notre ex-Académicienne, L'amour & Moi, si bien que c'est sur lui que je vais m'épancher ce soir.
Le premier extrait, Sur le fil, écrit par le nouveau duo cannois Mutine, m'a accompagné tout l'été et je suis loin de m'en être lassé, et vu que l'album précédent de la belle, Appelle-moi Jen, était mon préféré (bien que celui ayant le moins vendu) et que ce nouveau L'amour & Moi était annoncé comme sa suite musicalement parlant, je ne prenais pas trop de risques en achetant les yeux fermés ce nouvel opus rose bonbon pour la pochette. A l'image de sa pochette en effet, ce nouveau cru Jenifer est une bulle de pop légère et insouciante, qui s'écoute en mode auto-replay sans lasser pour se prélasser sur le canapé, oeuvrer en cuisine ou idéal pour se réveiller via l'ipod en partant travailler. Bref, cet album va être mon son de la rentrée !
L'album commence avec un riff de guitare énervé mais funky qui met tout de suite dans le bain de l'album et de ce premier titre écrit par Jenifer avec Emmanuel Da Silva et réalisé par la moitié male et studio du duo Mutine, Silvio Lisbonne, comme l'album tout entier d'ailleurs. Bien sautillant dans sa mélodie, Les jours electriques bénéficie de plus d'un refrain très enlevé et entêtant qui est de bon augure puisque la chanson est stickée comme futur single.
2/ SUR LE FIL 3'24
On enchaîne avec Sur le fil et son intro bien funky aussi même si l'ambiance est plus électro/pop que pop/rock funky comme son prédécesseur. Ecrite par le duo Mutine, ce premier single est le tube imparable qui manquait à Jenifer pour renouer avec son public et les charts après le demi-échec de son album précédent et de ses singles sous utilisés en radio je trouve. Même s'il n'a pas squatté la pole position du Top50 cet été, au cumul, il s'est petit à petit installé solidement dans le paysage musicale de notre été et a été plébiscité par le public français comme l'alter-égo francophone du Call me maybe de Carly Rae Jepsen, vrai tube surprise de l'été.
3/ PRISONNIERE 3'14
Prisonnière calme le jeu en apparence, même si, lorsque son refrain arrive, on retrouve bien la Jenifer que l'on avait suivi après sa Star Ac', en variété francophone tubesque. Ce titre écrit par l'autre duo qui a oeuvré majoritairement sur l'album, Yohann Malory & Olivier Reine, est donc un mid-tempo plutôt rythmé et très ensorcellant qui pour moi aurait plus fait l'affaire en second single que la chanson titre de l'album apparemment choisie.
4/ APPELLE LA POLICE MON AMOUR 3'51
Même équipe à l'écriture pour le titre suivant, uptempo synthépop d'influence années 80 aux arrangements hypnotisants qui me font tanguer à son rythme à chaque écoute. Appelle la police mon amour, a de plus des paroles aux rimes riches et au refrain répétitif mais sans trop qui en font un titre tubesque au possible : quatre ,coup sur coup !
5/ L'AMOUR & MOI 3'58
Co-écrit par Yohann Malory et le duo Mutine (Silvio Lisbonne donc et Manon Romiti, la moitié visuelle et chanteuse du duo), L'amour & moi est une douce chanson d'apparence plus fragile et intimiste, portée par de beaux arrangements claviers et des choeurs ouatés, et un refrain plus porteur que ses couplets musicalement trop fades pour être plus qu'un titre d'album pour moi. A moins qu'un remix salvateur n'ait été commandé pour envoi aux radios, j'ai peur que ce titre finalement long (presque 4 minutes) ait du mal à passer sur les ondes... Sur la fin, les percus et la guitare se réveillent et font pousser la note à Jenifer mais c'est trop tard pour donner suffisamment de rythme à cette ballade trop mignonne finalement.
6/ ORAGE EN VUE 3'26
Avec Orage en vue, co-écrit par Mutine avec Mathieu Monnaert cette fois, retour au pop/rock rythmé avec force guitare et refrain chanté fort, avec la particularité que nulle part, couplets/refrain, n'apparaît le titre de la chanson, ce qui, il faut bien l'avouer, est très extraordinaire. Ce texte est en fait agencé comme un poème dont le titre représente l'ambiance générale, l'idée directrice du corps de texte ; il n'empêche que son refrain est très accrocheur mais du coup, je vois mal ce titre pouvoir être utilisé en radio... mais il en faut aussi, des bons titres "juste" d'album !
7/ BESOIN D'AIR 3'22
Nouveau cadeau du duo Mutine pour Jenifer avec Besoin d'air, et c'est à nouveau une rythmique funky sautillante qui donne la cadence de ce très bon titre uptempo où je retrouve la patte de Silvio/Manon que j'ai découvert avec Fille ou garçon, leur premier single, et Pose tes mains, leur nouveau titre. Belle atmosphère aérienne au milieu du morceau qui donne du relief au morceau et surtout belle musicalité des couplets pour alterner avec le refrain très accrocheur.
8/ MADEMOISELLE FUME 3'12
Mais le titre imparable de l'album qui s'ancre dans votre cerveau pour ne plus en sortir jamais, c'est maintenant qu'il arrive ! Sauf qu'avec son titre et son texte parlant de cigarettes, citant des marques ou des égéries, Mademoiselle fume a peu de chance en ces temps de campagnes anti-tabac de monter au créneau des radios pour vendre de l'album et c'est dommage de toujours chercher le consensuel finalement parce que ce titre (duo Malory/Reine encore au rendez-vous) est de la pure BOMBE ! Il est fort à parier qu'une seule écoute suffira à vous y rendre accro, bien plus qu'à la nicotine :)
9/ TU NE DIS RIEN 3'11
Tu ne dis rien rabaisse le tempo, à temps avant la crise cardiaque si vous voulez mon avis, avec ces excès de tabac et de pop énergisante, pour revenir en mode funky pop, qui joue des battements de mains et de la gratte de musicos. On sent que ce deuxième titre Jen/Da Silva est un boeuf de studio, en tout cas dans son inspiration, et c'est peut-être celui qui s'éloigne le plus du format pop qui me plaît.
10/ MES NUITS 4'07
Ambiance nocturne et ouatée pour l'intro de Mes nuits, co-écrit par Jenifer avec le duo gagnant Malory/Reine, pour bien mettre en valeur un très beau texte. C'est marrant, c'est en interlude après le refrain et avant que le second couplet commence que l'instrumentation monte un peu le son et que la guitare s'empare des enceintes. Le support instrumental derrière la voix de Jenifer, tout du long, est beaucoup plus tenu et sobre, élégant et classieux même, ne se faisant que l'écrin d'une chanson quasiment que vocale lorsque d'habitude musique et voix se fondent pour devenir la chanson. Mais ce n'est pas un titre accoustique ou acappella pour autant... Il est simplement beau !
11/ EST-CE QUE TU M'AIMES ? 2'58
Retour d'une rythmique uptempo bien appuyée dès le début du titre suivant, déjà l'avant dernier de la version normale du CD 12 titres (d'où l'absolue nécessité à mes yeux de se procurer la version deluxe 14 titres +1 remix !!) pour un Est-ce que tu m'aimes ? écrit par un nouveau duo (Gérard Duguet Grasser et Alexandra Roos) et c'est un très bon titre attirant, comme une lumière pour les papillons de nuits ; les couplets nous tournent autour, avec une mélodie séductrice et des arrangements hypnotiques, et nous ramènent vers un refrain qui étend la phrase titre telle une mélopée, un chant de sirène pour nous cueillir dans ses filets.
12/ HELLO 2'40
Guitare énervée et funky toujours pour ce Hello où j'ai l'impression d'entendre Jenifer devenir Sharleen Spiteri chantant en français sans accent. Mais je ne parle pas du groupe Texas du début, pop/folk, non, celui des super tubes pop/rock disco, et c'est une nouvelle fois Yohann Malory qui s'y colle pour nous pondre cette perle, avec un autre duo cette fois je présume à la composition, Davis Mouyal et Paul Homem Christo. Impossible de terminer l'album ainsi, il vous faut la version Deluxe !
13/ Y'A PAS JEN 3'10
Ambiance rasta funky pour Y'a pas Jen où le refrain devient "y'a pas d'gêne, y'a pas d'plaisir" et un titre écrit par Manu Larrouy, dont j'avais chroniqué le second album en début d'année. On retrouve ici je pense un peu plus de son inspiration roots soul, ou un bis repetita de la Jenifer période Lunatique, soit plus naturelle, peace & love pieds nus et moins électro/pop, d'où sûrement son inclusion en bonus et pas en corps d'album. Mais c'est un super titre positif et amusant !
14/ LA PUDEUR 3'20
Dernier titre inédit du CD collector, La pudeur est une nouvelle tuerie pop/dance, en fait une adaptation par Pierre Dominique Burgaud d'un titre de Cassie, Paul Harris & Carl Ryden, mais j'ignore quel est le titre de l'original anglais... Pour ma culture, si quelqu'un le sait, qu'il joue de son commentaire ! Le refrain "Si fatales, si futiles, les lois du sex-appeal" là encore n'abrite pas le titre du morceau (qui démarre en fait par ces mots) mais est super addictif, notamment grâce à des choeurs "Wooho ahah wooho ahah" qui s'alternent avec lui ; un très bon bonus, là encore !
Retour d'une rythmique uptempo bien appuyée dès le début du titre suivant, déjà l'avant dernier de la version normale du CD 12 titres (d'où l'absolue nécessité à mes yeux de se procurer la version deluxe 14 titres +1 remix !!) pour un Est-ce que tu m'aimes ? écrit par un nouveau duo (Gérard Duguet Grasser et Alexandra Roos) et c'est un très bon titre attirant, comme une lumière pour les papillons de nuits ; les couplets nous tournent autour, avec une mélodie séductrice et des arrangements hypnotiques, et nous ramènent vers un refrain qui étend la phrase titre telle une mélopée, un chant de sirène pour nous cueillir dans ses filets.
12/ HELLO 2'40
Guitare énervée et funky toujours pour ce Hello où j'ai l'impression d'entendre Jenifer devenir Sharleen Spiteri chantant en français sans accent. Mais je ne parle pas du groupe Texas du début, pop/folk, non, celui des super tubes pop/rock disco, et c'est une nouvelle fois Yohann Malory qui s'y colle pour nous pondre cette perle, avec un autre duo cette fois je présume à la composition, Davis Mouyal et Paul Homem Christo. Impossible de terminer l'album ainsi, il vous faut la version Deluxe !
13/ Y'A PAS JEN 3'10
Ambiance rasta funky pour Y'a pas Jen où le refrain devient "y'a pas d'gêne, y'a pas d'plaisir" et un titre écrit par Manu Larrouy, dont j'avais chroniqué le second album en début d'année. On retrouve ici je pense un peu plus de son inspiration roots soul, ou un bis repetita de la Jenifer période Lunatique, soit plus naturelle, peace & love pieds nus et moins électro/pop, d'où sûrement son inclusion en bonus et pas en corps d'album. Mais c'est un super titre positif et amusant !
14/ LA PUDEUR 3'20
Dernier titre inédit du CD collector, La pudeur est une nouvelle tuerie pop/dance, en fait une adaptation par Pierre Dominique Burgaud d'un titre de Cassie, Paul Harris & Carl Ryden, mais j'ignore quel est le titre de l'original anglais... Pour ma culture, si quelqu'un le sait, qu'il joue de son commentaire ! Le refrain "Si fatales, si futiles, les lois du sex-appeal" là encore n'abrite pas le titre du morceau (qui démarre en fait par ces mots) mais est super addictif, notamment grâce à des choeurs "Wooho ahah wooho ahah" qui s'alternent avec lui ; un très bon bonus, là encore !
15/ SUR LE FIL [REMIX BY MR. WALTMANN] 3'56
Comme l'avait été L'amour fou, le troisième et dernier single extrait de l'album précédent de Jenifer, Sur le fil s'est vu, lors de sa sortie single, être remixé par Mr. Waltmann, Fabien de son petit nom, et c'est cette version beaucoup plus électro/dance qui ferme la marche des titres bonus de ce CD génial de bout en bout.
Même s'il est rose bonbon très girlie, ce nouvel album bénéficie d'un beau packaging, avec textes et photos, et mérite que l'on se l'achète en physique plutôt qu'en digital à mon avis. Sinon, dernier coup de coeur de cet album que j'adore presque totalement (seuls Tu ne dis rien et la chanson titre me plaisent moins...), décerné à Silvio Lisbonne : ce jeune homme, qui débute sa carrière professionnelle avec son amie d'école Manon Romiti du duo Mutine, non content d'écrire et composer avec cette dernière, a passé son examen pour entrer dans la cour des grands. En effet, à part le mixage de l'album qui a été confié à l'ingénieur du son anglais superstar Andy Bradfield, c'est ce jeune cannois qui a tout fait sur l'album (à part les voix, toutes made in Jenifer bien sûr), programmation, synthé, guitare, basse, piano, rythmique (à part la basse sur Hello) !
C'est un homme orchestre à lui tout seul, enfermé dans son studio perso de Cannes. Il a réalisé toutes les pistes comme ça tout seul, avant je pense de monter à Paris enregistrer les voix avec Jenifer au sudio de la Grande Armée. Si ce garçon, et son duo électro/pop prometteur avec la voix de Manon, souvent comparée à celle de Jenifer Ayache de Superbus, ne deviennent pas des valeurs sûres de la pop française, c'est qu'on aura encore gâché un immense talent ! Il faut savoir aussi célébrer les petites mains des ouvrières oeuvrant dans la ruche lorsqu'on se gave avec délice de miel ; là, il y a un maître d'oeuvre principal à saluer et je tenais à le faire ;)
samedi 15 septembre 2012
L'album grand-public de Owl City a séduit mon iPod...
Derrière Owl City se cache Adam Young, un jeune américain qui commença à composer et enregistrer sa pop électronique dans son sous-sol avant d'avoir un tube surprise tout autour du monde avec Fireflies en 2009. L'album accueillant ce titre, Ocean Eyes, comme le suivant, All things bright and beautiful, peinèrent à renouveller le score, si bien que l'artiste décida semble-t-il pour son quatrième album d'affranchir sa pop de son côté "underground" pour retrouver le grand-public.
Si la mélodie de Fireflies ne m'est en effet pas inconnue, c'est en tout cas bel et bien avec son nouveau single Good time, enregistré en duo avec la canadienne sensation du moment Carly Rae Jepsen (et son tube de l'été Call me maybe), que je me suis fait avoir. La première fois que j'ai entendu Good time à la radio, j'ai cru reconnaître le style du trio produit par RedOne Talkback, dont la vidéo Laugh laugh tourne depuis début sur le net sans que le single ne soit encore sorti sur iTunes, et dont la mélodie des couplets semble avoir été complètement ré-utilisée par Adam Young pour son single, d'où ma méprise initiale. Jugez vous-même en comparant leurs vidéos... Malheureusement pour moi, je doute à présent que Laugh laugh pourra sortir ; chronologie oblige, ce sont eux qui seront qualifiés de copieurs !
Toujours est-il que Good time, avec sa bonne humeur entrainante et sa mélodie pop enjouée, sans compter les petits choeurs d'enfants, a tout de la chanson rafraichissante idéale pour l'été. Du coup, je me suis intéressé à l'album parent, quatrième dans la discographie de Owl City, dont la pochette m'a immédiatement beaucoup plu et m'a donné envie d'en écouter le contenu. J'avoue avoir d'abord écouté The midsummer station en ligne et j'ai été tant séduit que j'en ai acheté le CD dès qu'il est sorti en France cette semaine.
L'album démarre avec Dreams and disasters et sa rythmique quasiment militaire, et dans le phrasé d'Adam Young, je retrouve finalement de l'inspiration anglosaxone à la New Order ou Pet Shop Boys qui fait que son hymne pop inaugurant cette musique estivale américaine est moins stéréotypée que la pop usuelle entendue sur nos ondes.
L'album enchaîne avec Shooting star, co-écrit et co-produit avec les producteurs de tubes (norvégiens émigrés aux States) StarGate, initialement prévu pour être le premier single mais recalé sans doute pour plus tard, pour bénéficier du succès actuel de Carly Rae Jepsen et de son Call me maybe. Les premières notes ne sont pas sans rappeler l'atmosphère quasi-féérique de Fireflies et le tempo s'accélère lentement pour arriver à l'apothéose qu'est le refrain, qui se termine résolument entrainant avec ses choeurs. "Shine brighter than a shooting star" est la phrase qui se retient bien et vaudrait bien que ce titre devienne un single et un tube à son tour.
Ecrit et produit par d'autres que lui (même s'il a ajouté sa patte avec une production additionnelle), Gold voit Adam Young s'approprier le titre avec son phrasé reconnaissable maintenant pour moi et c'est un titre qui se donne à la mode des onomatopées pour aider son refrain à mieux se retenir, un petit sifflement figure même aussi pour donner à ce titre mid-tempo rythmé un air à retenir et siffloter ensemble. Ça me paraît un peu juste pour être un single mais ça pourrait plaire quand même.
Dementia, s'il est écrit et produit par l'artiste en solo cette fois, invite Mark Hoppus, du groupe punk Blink-182, et l'ingénieur du son superstar Chris Lord-Alge au mixage, ce qui semble indiquer le fort potentiel attendu également pour ce titre et sa phrase clef de fin de refrain "Dementia, you're driving me crazy". Il est à noter que les guitares sont beaucoup plus présentes sur Dementia que sur le reste de l'album et que ce pourrait être un bon titre crossover pour les radios pop/rock.
Adam Young enchaîne avec I'm coming after you et son entêtant choeur de sirène de locomotive "woo woo woo" qui précède la phrase titre que l'on imagine bien chantée en concert le bras droit en l'air faisant des moulinets pour inciter la foule à reprendre en choeur avec lui ce titre très entrainant. Pas un titre que je n'aime pas pour le moment, et un fort potentiel même pour chaque plage de ce CD.
Ça ne change pas avec le titre suivant, Speed of love, aux sonorités résolument électros, et au refrain rythmé par ses "Oh oh oh" qui résonnent comme un hymne une nouvelle fois à chanter à tue-tête avec Owl City, même à la maison, en montant le son des enceintes.
Ecrit et produit par d'autres que lui (même s'il a ajouté sa patte avec une production additionnelle), Gold voit Adam Young s'approprier le titre avec son phrasé reconnaissable maintenant pour moi et c'est un titre qui se donne à la mode des onomatopées pour aider son refrain à mieux se retenir, un petit sifflement figure même aussi pour donner à ce titre mid-tempo rythmé un air à retenir et siffloter ensemble. Ça me paraît un peu juste pour être un single mais ça pourrait plaire quand même.
Dementia, s'il est écrit et produit par l'artiste en solo cette fois, invite Mark Hoppus, du groupe punk Blink-182, et l'ingénieur du son superstar Chris Lord-Alge au mixage, ce qui semble indiquer le fort potentiel attendu également pour ce titre et sa phrase clef de fin de refrain "Dementia, you're driving me crazy". Il est à noter que les guitares sont beaucoup plus présentes sur Dementia que sur le reste de l'album et que ce pourrait être un bon titre crossover pour les radios pop/rock.
Adam Young enchaîne avec I'm coming after you et son entêtant choeur de sirène de locomotive "woo woo woo" qui précède la phrase titre que l'on imagine bien chantée en concert le bras droit en l'air faisant des moulinets pour inciter la foule à reprendre en choeur avec lui ce titre très entrainant. Pas un titre que je n'aime pas pour le moment, et un fort potentiel même pour chaque plage de ce CD.
Ça ne change pas avec le titre suivant, Speed of love, aux sonorités résolument électros, et au refrain rythmé par ses "Oh oh oh" qui résonnent comme un hymne une nouvelle fois à chanter à tue-tête avec Owl City, même à la maison, en montant le son des enceintes.
Good time arrive finalement tard sur l'album, ce qui prouve peut-être qu'il n'était pas le premier single désigné à l'origine au moment du pressage, et je ne me lasse pas de l'écouter, même si placé là, la similitude d'accroche du refrain avec le titre précédent est confondante, cette fois étant "Woah oh oh oh"... mais j'avais déjà relevé ce passage obligé maintenant par les onomatopées en lignes vocales directrices des chansons pop américaines lorsque j'avais écrit sur l'album de Taio Cruz. C'est peut-être finalement ça le signe de l'orientation grand-public de Owl City sur cet album... Avec ses choeurs d'enfants, Good time a quand même un esprit christian pop / boyscout qui tendrait vers la commercial pop grand-public à la Disney Channel et ce n'était pas la cible originale de la pop électronique underground d'Adam Young je pense, quoiqu'il doit être le parfait bon croyant pratiquant américain, comme les ultimes notes du livret l'indique : "All praise and glory to Jesus Christ, to whom I owe everything"... mais oui, bien sûr ! C'est le genre de bétises qui pourrait m'énerver s'il le chantait à la place de l'écrire mais heureusement, ses paroles sont bien passe-partout.
Embers suit et rameute un peu sur son refrain les guitares que l'on avait entendues sur Dementia, pour un titre justement très optimiste et portant la parole du volontariste "tu peux t'en sortir". Remarquez, quand le refrain déboule avec la voix d'Adam plus rock que d'habitude et les riffs de guitare en support, c'est vrai que ça donne envie de se bouger :).
Enregistrée et mixée par Adam seul dans son studio, Silhouette calme le jeu et sonne comme la bulle d'émotion simple piano/voix de l'album. On retrouve aussi par endroit les intonations d'Adam Young qui font un peu sa marque de fabrique, comme le décroché sur "burning me alive", avec une manière de chanter, finalement directement héritée de cette pop anglosaxone qualifiée de conversationnelle, qui peut sonner maniérée mais aussi poétique. A 4'12, c'est la chanson la plus longue de l'album, mais ça passe comme une fleur, la fin du morceau arrivant presque trop vite et semblant se terminer avortée...
L'électronique reprend doucement le dessus sur l'intro de Metropolis, avant de se marrier avec des cordes voluptueuses et sirupeuses et que la rythmique démarre pour mener la barque jusqu'au refrain en apothéose sur la phrase titre "I left my heart in Metropolis".
Et c'est déjà la fin de CD qui arrive avec comme une myriade de papillons sonores en intro de Take it all away, co-produit avec Kool Kojak, célèbre pour son travail avec Flo-Rida, Katy Perry ou Ke$ha, et ce n'est finalement pas la meilleure manière de finir un album somme toute assez réussi. En effet, cet ultime titre est une sorte de mid-tempo épique qui sonne assez fade comparé au reste de The midsummer station, à mes oreilles en tout cas.
Embers suit et rameute un peu sur son refrain les guitares que l'on avait entendues sur Dementia, pour un titre justement très optimiste et portant la parole du volontariste "tu peux t'en sortir". Remarquez, quand le refrain déboule avec la voix d'Adam plus rock que d'habitude et les riffs de guitare en support, c'est vrai que ça donne envie de se bouger :).
Enregistrée et mixée par Adam seul dans son studio, Silhouette calme le jeu et sonne comme la bulle d'émotion simple piano/voix de l'album. On retrouve aussi par endroit les intonations d'Adam Young qui font un peu sa marque de fabrique, comme le décroché sur "burning me alive", avec une manière de chanter, finalement directement héritée de cette pop anglosaxone qualifiée de conversationnelle, qui peut sonner maniérée mais aussi poétique. A 4'12, c'est la chanson la plus longue de l'album, mais ça passe comme une fleur, la fin du morceau arrivant presque trop vite et semblant se terminer avortée...
L'électronique reprend doucement le dessus sur l'intro de Metropolis, avant de se marrier avec des cordes voluptueuses et sirupeuses et que la rythmique démarre pour mener la barque jusqu'au refrain en apothéose sur la phrase titre "I left my heart in Metropolis".
Et c'est déjà la fin de CD qui arrive avec comme une myriade de papillons sonores en intro de Take it all away, co-produit avec Kool Kojak, célèbre pour son travail avec Flo-Rida, Katy Perry ou Ke$ha, et ce n'est finalement pas la meilleure manière de finir un album somme toute assez réussi. En effet, cet ultime titre est une sorte de mid-tempo épique qui sonne assez fade comparé au reste de The midsummer station, à mes oreilles en tout cas.
Heureusement, iTunes est là, avec un bonus que je n'ai pu m'empêcher d'acheter pour compléter ma version d'album à charger sur mon iPod et ce Bombshell blonde est particulièrement addictif. Là encore résolument électro et dans l'air du temps, il débute par des sons technoïdes avant que le beat s'affole complètement à l'approche du refrain, chanté haut et fort, clammé même devrais-je dire, et je ne peux empêcher ma tête de dodeliner en cadence. Pourquoi ne pas avoir inclus ce pur chef d'oeuvre sur le CD, bordel ? Le bridge se veut chaotique côté sonorités bip-bleepantes mais le refrain revient vite pour nous vriller en tête longtemps après sa fin de morceau la phrase de conclusion "I'm on a mission tonight". Et la mission de Owl City ce soir était de nous filer la pêche ! Ce n'était pas une mission impossible, loin de là...
Quand je parle bonus, ré-éditions d'albums, etc. je vois rouge et aimerais bien m'entretenir cinq minutes avec les maisons de disques (ou pourquoi sortir une édition normale et une édition deluxe quand la seconde version a plus de titres et que pour 1€ de plus, tout le monde va acheter cette version, non? mais ce n'est pas le cas ici... alors stop à la digression), mais il ne faut pas oublier que le pays où sont nées ces éditions bonifiées est le Japon et que le pays du soleil levant a toujours et encore souvent droit à ses titres en plus, un dans le cas du CD de The midsummer station, appelé Top of the world. Il synthétise un peu tout ce qui fait Owl City ici, comme un patchwork de 3'30 de tous les titres de l'album ; le début de la chanson sonne comme si on l'avait déjà entendu plus tôt, mais finalement non. Le refrain se veut une fois de plus enlevé et soutenu par des onomatopées, qui une fois n'est pas coutume nous donnent envie de chanter en choeur avec le chanteur. La thématique "satellite, over the moon, top of the world tonight" me fait même repenser à Speed of light, comme si ce deuxième morceau en était une version retravaillée, en mieux. Et comme pour Bombshell blonde, Top of the world, s'il avait été inclus sur l'édition CD normale de l'album, aurait été un single potentiel voire obligé... mais peut-être au Japon ?
Au final, un album que je ne peux m'empêcher d'écouter en boucle depuis que je l'ai mis dans mon iPod, et qui sied parfaitement à la saison de fin d'été, enjouée et poétique comme pour se souvenir des rayons du soleil et se donner l'entrain nécessaire pour aborder la rentrée. Donnez lui sa chance ; vous ne serez pas déçus !
jeudi 13 septembre 2012
Un retour "paradis lounge" des Pet Shop Boys avec Elysium
Avec Elysium, leur onzième album studio, les Pet Shop Boys reviennent en ce début Septembre avec comme un air d'été indien pour nos enceintes. Je m'explique : leurs Champs Elysées en CD sonnent moins upbeat et plus solaires que leurs albums précédents. Moins de boum-boum donc, plus d'harmonies symphoniques et aussi beaucoup moins de titres forts pour remuer nos popotins, mais n'est-ce pas l'âge du duo qui déteint sur leur musique ? En effet, ils ont la cinquantaine passée tous les deux et Neil se rapproche même dangereusement de la soixantaine... Alors que je viens moi-même de passer le cap des 40, il me semble presque dans l'ordre des choses de découvrir sur cet album qu'ils ont calmé le rythme et retrouvé l'inspiration de leur magnifique Being boring de 1990. Ils l'ont en quelque sorte étalée (délayée?) sur douze plages de ce nouveau CD dont le titre fait référence à cet endroit des enfers mythologiques qui équivaudrait à la notion du paradis dans la croyance catholique. L'impression solaire qui se dégage de la musicalité de cet Elysium doit cependant également trouver son explication dans l'endroit qui a hébergé son enregistrement, la Californie, Hollywood principalement, et même si les titres avaient été écrits précédemment en Angleterre par le duo, le choix de l'ingénieur du son R&B "west-coast" Andrew Dawson pour produire avec eux ce premier opus "américain" se retrouve bel et bien dans la couleur du son de tout l'album qui, à l'image des vagues de la pochette, se retrouve souvent ensoleillé. Aucune influence rap/R&B par contre, ne prenez pas peur !
L'album démarre par son plus parfait représentant, et à ce titre, quoi de plus logique puisqu'il est également son deuxième extrait, le single officiel sortant début Octobre. Leaving est un mid-tempo mélancolique sur la perte de l'amour comme des êtres chers, écrit par Neil après le décès coup sur coup de ses parents, mais dont le refrain tourne en boucle et nous laisse malgré tout un sentiment de bien-être puisque, pour plagier les paroles, "les morts sont toujours vivants, dans nos mémoires et pensées". Ce titre très symphonique, mais à l'esprit lounge house je dirais, me paraît réellement être un nouveau Being boring qui ravira sans doute les fans sans pour autant devenir un hit dans les charts -mais ça fait longtemps que les singles des Pet Shop Boys sont boudés par les radios et le public non connaisseur-. Si, de premier abord, le titre paraît quand même un peu faible pour un single, c'est un grower, et après à peine 3 écoutes, son refrain entêtant vous reste scotché en tête et n'en sort plus... "I know enough's enough and you're leaving, You've had enough time to decide on your freedom but I can still find some hope to believe in love..."
2. Invisible 5:05
En seconde plage du CD, Invisible est un autre moment de douce plénitude mélancolique qui avait été choisie par le duo précédemment cette année pour être offerte en avant-goût de l'album en diffusion sur le net. Un peu plus de sons électroniques et pas d'orchestre pour ce second mid-tempo qui donne bien le rythme de l'album et parle encore une fois d'amour perdu mais cette fois par l'âge et les années qui passent et font que l'on devient invisible aux yeux des autres et de notre société atteinte de jeunisme, dans ses médias comme dans les mécaniques de la séduction. Il faut en effet y voir à la fois la narration de l'effet sur l'attrait sexuel que l'âge entraîne, nous rendant invisible aux yeux des autres car plus assez jeune pour séduire, tout comme celui du temps sur leur carrière qui continue sa route sans plus être remarquée et soutenue par les médias, et donc ne peut plus interpeller de nouveaux fans par sa quasi confidentialité.
3. Winner 3:50
La rythmique s'accélère quelque peu pour Winner, premier single officiel de l'album sorti durant les jeux olympiques de Londres, mais on reste dans le territoire du mid-tempo, même s'il est beaucoup plus optimiste musicalement parlant, comme un anthem calme et serein. Plus qu'une ode aux JO, ce titre est un hymne aux bienfaits de partager des valeurs dans une compétition et d'en recueillir les fruits même si l'on n'en est pas le gagnant, tout en sachant se souvenir d'où l'on vient et quel a été son parcours. Jacques Martin nous le disait bien quand j'étais petit : "tout le monde, il a gagné !" C'est un titre qui ne payait pas de mine quand je l'ai entendu la première fois mais là encore, après plusieurs écoutes, j'ai appris à l'aimer...
La rythmique s'accélère quelque peu pour Winner, premier single officiel de l'album sorti durant les jeux olympiques de Londres, mais on reste dans le territoire du mid-tempo, même s'il est beaucoup plus optimiste musicalement parlant, comme un anthem calme et serein. Plus qu'une ode aux JO, ce titre est un hymne aux bienfaits de partager des valeurs dans une compétition et d'en recueillir les fruits même si l'on n'en est pas le gagnant, tout en sachant se souvenir d'où l'on vient et quel a été son parcours. Jacques Martin nous le disait bien quand j'étais petit : "tout le monde, il a gagné !" C'est un titre qui ne payait pas de mine quand je l'ai entendu la première fois mais là encore, après plusieurs écoutes, j'ai appris à l'aimer...
4. Your early stuff 2:33
On reste dans le mid-tempo plus mélancolique et noir même avec cette courte chanson sur la perception que les gens ont de la célébrité avec le temps qui passe. Neil a apparemment utilisé des phrases que des chauffeurs de taxi par exemple lui ont dit croyant lui offrir un compliment. Face à des phrases comme "j'aimais ce que vous faisiez" ou "c'est quoi votre nom déjà?" le ressenti de la célébrité, et il s'agit bien de Neil ici que l'on se représente se prendre ces phrases en pleine face, est tout autre que celle de l'auteur (qui croit faire un compliment) et il s'aperçoit que sa carrière est plus derrière lui que devant dans l'esprit de son interlocuteur. Cette chanson douce-amère tourne un peu en rond avec son refrain répétitif et assez plat, bien utilisé finalement pour faire passer le message du sentiment reçu et mis en relief par les choeurs interrogatifs plus enjoués et positifs.
5. A face like that 5:07
A face like that démarre par une longue intro instrumentale et technoïde, résolument upbeat et retro finalement dans l'inspiration PetShopBoys-ienne, ce qui me fait penser qu'il s'agit d'un titre dominé par l'inspiration de Chris, même si, à partir de 1'40, Neil reprend les rennes et le micro, et que la party song redevient juste une chanson, rythmée, enlevée comme je les aime dans ma discography made in PSB. Le thème des paroles développe ici l'impact de la beauté physique de quelqu'un, même si c'est celle du visage qui est utilisée, sur ceux qui l'entourent, mais j'y vois bien sûr plus une raillerie du culte de la beauté de notre société d'aujourd'hui. En première lecture pourtant, pas d'acidité dans le texte, mais c'est dans l'interprétation que je lis le détachement de Neil par rapport à ce qu'il chante, d'autant plus que lui-même, avec les ans, s'éloigne de plus en plus de cet éblouissante beauté maîtresse du monde.
6. Breathing space 5:10
Le tempo retombe aussi vite qu'il s'était accéléré avec cette plage de fin de première moitié d'album, à nouveau mélancolique et quasi dépressive. Les guitares sont omniprésentes et me rappellent l'atmosphère de l'album Release, mature et pop/rock. Breathing space semble être un cri du coeur de Neil cherchant une issue à la spirale infernale de nos vies d'aujourd'hui, ou est-ce le star système? Le gimmick du titre, l'interrogation de fin de refrain "I gotta get out", le représente bien et même si ce n'est pas mon style de titre PSBien par excellence, je l'aime bien. Je l'imagine presque avoir été écrit pour leur ami star Robbie Williams ; c'est plus son style, je trouve !
7. Ego music 3:05
Ego music redémarre sur les chapeaux de roues, avec un titre cynique et parodique qui se termine en queue de poisson. Avec son refrain répétitif et pas vraiment mélodieux, alterné avec des couplets parlés sur fond de musique synthétique et de bruits dissonants, ce titre parodie apparemment ces stars de la chanson d'aujourd'hui qui se racontent en chanson, couchant sur les notes les pages de leur journal intime. Neil semble n'y voir qu'une adoration d'eux-mêmes. Mais ne faut-il pas être égocentrique pour devenir une star ? Toujours est-il que cette chanson m'insupporte plus qu'elle me séduit... Musicalement, c'est une scie ...alors c'est aussi bien qu'elle ne dure pas longtemps !
8. Hold on 3:20
Le titre qui la suit ne peut plus radicalement être différent ! En effet, Hold on sonne comme un hymne paroissial, tant est si bien que plusieurs voix se substituent à celle de Neil pour en chanter un couplet comme dans une église. Ce titre semble unilatéralement positif, optimiste, et je n'y reconnais pas mes cyniques Pet Shop Boys... à moins que ce ne soit là encore un pastiche à travers lequel il faudrait voir l'hymne caché du duo contre cette société et ces religions qui veulent nous faire prendre des vessies pour des lanternes en nous promettant que tout ira mieux. Dans l'accumulation des choses qui vont mal chantées par Neil, opposée à la positivité chantée par les choristes, c'est ce que j'aime à y lire. Mais du coup, musicalement, cette parodie n'est finalement que premier degré et l'effet orgue d'église me barbe un peu, tout en rajoutant une couche niveau grandiloquence et effet pompeux. Il faut dire que le duo s'est inspiré d'un air de Handel pour construire leur mélodie autour... Cela fait deux titres en suivant qui se font barbants au bout du compte...
9. Give it a go 3:53
Heureusement, Give it a go, avec son petit air rétro que l'on se verrait bien siffloter, vient remettre un peu de finesse dans cette bonne humeur quelque peu surjouée. Neil joue ici la cible potentielle d'un amour cherchant mieux mais qui pourrait toujours se tenter faute de mieux, et qui sait? Réelle chanson d'amour optimiste et volontariste, ce nouveau titre plus pop/rock que dance cette fois m'emmène avec eux et, après un petit air d'accordéon même, se termine comme il a commencé, par cette hypnotique suggestion qui titre la chanson : "give it a go, give it a go".
10. Memory of the future 4:32
Les synthés reprennent leur place avec ce titre qui, si son titre justement n'avait pas été juste une phrase du premier couplet, aurait pu me sembler destiné à devenir un single. En effet, plus que Memory of the future, c'est la phrase clef du refrain "It's taken me all of my life to find you" que l'on retient, ou encore celle de fin de couplet "over and over again". En fait, cette chanson met en avant comme titre l'idée déterministe sans doute qu'elle développe, à savoir que certaines choses sont inévitables, semblent gravées dans la pierre et devant se produire, arriver de cause à effet, et ce, mis en relief dans une histoire d'amour où Neil chante avoir du attendre toute sa vie pour trouver (l'amour, un partenaire?) alors qu'il l'avait déjà, avec sans cesse cette impression de déjà vu, "I keep tasting that sweet madeleine" faisant référence au roman de Proust. Si ce titre, au premier abord, sonne bien pop rentre-dedans, son texte est bel et bien un chateau de cartes philosophique et hautement référencé comme Neil a l'habitude d'en construire, mais il n'en demeure pas moins que c'est une superbe chanson pop/dance que je vais écouter en boucle. Sera single ou pas ? Le temps le dira.
11. Everything means something 4:50
Même si l'ambiance reste synthétique, bye bye l'orchestre symphonique pour ce deuxième titre en suivant, le tempo se ralentit pour ce quasi sinistre Everything means something. Les couplets le sont en tout cas, mélodiquement dogmatiques et semblant d'après le texte représenter l'opinion d'un autre que Neil, mais ils s'opposent avec le refrain plus léger et enlevé, mais ça ne suffit pas à rendre la chanson attrayante... Ça sent la fin d'album !
12. Requiem in denim and leopardskin 5:49
Rien qu'en lisant le titre de l'ultime plage du CD, je savais que j'allais avoir à faire à une fantaisie kitsch et grandiloquente comme les Pet Shop Boys savent en faire. Si l'intro m'a fait peur, la suite m'a rassuré : on retrouve l'atmosphère du début d'album, lounge et ensoleillée, mélant sonorités disco et jazzy sur fond d'orchestre symphonique pour former un requiem pailleté supposément joué aux funérailles de l'artiste Lynne Easton, ayant maquillé toutes les célébrités du rock Londonien dans les années 80 et 90. On retrouve dans les paroles moultes allusions aux stars avec lesquelles elle a travaillé (Malcolm McLaren, Johnny Rotten, etc.) et qui viendraient lui rendre un ultime hommage "en jeans et tenue léopard". Ce titre me rappelle la sublime face B My funny uncle mais en version sous ecsta... C'est une bien belle façon de terminer l'album et donne idéalement envie de recommencer sa lecture avec Leaving.
Ce n'est cependant pas, vous l'avez constaté sur certaines plages, un album qui me ravit de bout en bout. De manière générale, son tempo est trop mou pour que je l'écoute en forte rotation, et certains titres auraient dû être relégués au status de face B pour faire place à des titres plus uptempos qui auraient relevé le niveau et augmenté son potentiel de singles. En effet, après Leaving, à part Memory of the future qui sonne bien comme ce que l'on attend d'eux, ou Give it a go et Breathing space qui ont un certain potentiel plus grand public pop/rock, je ne vois pas... Mais ils vendent plus d'albums que de singles maintenant, puisque seuls les fans suivent encore leurs sorties, alors je crois que ce n'était pas leur propos.
Par contre, j'espère que Leaving et son successeur potentiel dans l'exploitation de l'album bénéficieront encore de faces B inédites et qualitatives comme Winner nous a offert. En effet, ce dernier, outre un EP de remixes, est sorti accompagné de 3 chansons inédites en format single et j'avoue les avoir accolées à l'album sur mon lecteur iPod...
13. The way through the woods 5:42
Bonus de l'album japonais en version courte (2:16), The way through the woods figure en version longue sur le single Winner et on sent un peu le délayage en effet, avec une longue intro. Ce titre est un lent mid-tempo symphonique qui est en fait une mise en musique du poème du même nom de Kipling, produit comme tout l'album par Andrew Dawson avec le duo. La version longue, par contre, a été revue et corrigée allongée par les Pet Shop Boys à partir de l'original et sans avoir entendu celui-ci, je devine que la deuxième partie du morceau, juste après les halètements de Neil, plus électro, est ce qui a été rajouté ; on y devine aisément la patte de Chris Lowe.
14. A certain "Je ne sais quoi" 4:58
Je le fais suivre par le titre qui le précédait sur l'EP, A certain "Je ne sais quoi" qui commence au quart de tour par un sublime compte à rebours inversé ("Un, deux, trois, quatre) entonné par Neil en français dans le texte et par une rythmique digne du meilleur de l'époque Very/Brothers in Rhythm. Pourquoi donc cette merveille n'a-t-elle pas été placée sur l'album bon sang ? Bon, bien sûr, elle aurait eu du mal à trouver sa place au milieu des mid-tempos mais au moins, ça aurait donné un peu plus de BPM à la moyenne du CD. Ce titre finalement plus tubesque que le single qu'il supporte aurait apporté aussi un peu de légèreté puisqu'il ne faut voir dans ce titre très tongue-in-cheek que de l'amusement et de la bonne humeur camp & sexy, Neil déclarant sa flamme à un interlocuteur qui "le fait mieux que personne" et promène son sex-appeal de par le monde.
15. I started a joke 3:19
Toujours issu de l'EP single de Winner, cette reprise des Bee Gees, inimitablement interprétée par Neil de sa voix de tête qui n'a rien à voir avec celles de ses interprètes originaux. On retrouve à l'enregistrement et aux claviers de ces deux bonuses l'équipe habituelle de studio des Pet Shop Boys depuis maintenant au moins vingt ans, à savoir Pete Gleadall à la programmation et aux consoles, et Bob Kraushaar au mixage. Vu le résultat, le duo aurait pu rester en petit comité pour produire une moitié de l'album à la maison, et ne garder que le meilleur du son californien et de son orchestre...
Je sais bien que j'ai l'air déçu, mais après le vivifiant et presque juvénile Yes en 2009, j'espérais plus de ce cru 2012. Enfin, plus de BPM en tout cas, parce que cet Elysium contient son quotas de joyaux et pépites, sauf qu'il n'y en a guère au rayon des uptempos et, on ne me refera pas maintenant, moi, j'aime quand ça bouge ! Mais bon, les fans ne pourront s'empêcher d'aimer quand même même si je doute que le nombre de lectures explose le score sur iTunes...
Je sais bien que j'ai l'air déçu, mais après le vivifiant et presque juvénile Yes en 2009, j'espérais plus de ce cru 2012. Enfin, plus de BPM en tout cas, parce que cet Elysium contient son quotas de joyaux et pépites, sauf qu'il n'y en a guère au rayon des uptempos et, on ne me refera pas maintenant, moi, j'aime quand ça bouge ! Mais bon, les fans ne pourront s'empêcher d'aimer quand même même si je doute que le nombre de lectures explose le score sur iTunes...
A noter enfin que pour une fois, je ne me suis pas jeté sur la version collector 2CD, dont la pochette se décorait de nuages à la place de vaguelettes, le second CD n'offrant que les versions instrumentales des 12 plages du premier CD, et moi, les chansons sans paroles... très peu pour moi !
mercredi 12 septembre 2012
Retour aux sources pour le disco/pop Call me maybe de Carly Rae Jepsen
Alors que la jeune canadienne interprète origine du tube de l'été disco/pop Call me maybe se prépare à sortir son album Kiss la semaine prochaine, une version disco/funky a été enregistrée par les musicos de Stacks Of Wax avec un excellent vocal de Nicholas Wells. C'est dispo sur iTunes et surtout à apprécier déjà sur la vidéo ci-dessous ; alors que l'original de Carly Rae Jepsen commençait à me lasser, à force de l'avoir trop entendu, cette nouvelle version masculine et enregistrée live avec de vrais instruments la ré-invente et ne manque ni de pêche, ni d'humour (ne loupez pas le bridge façon Barry White où le chanteur se soulage de sa chemise...)
lundi 10 septembre 2012
Posez vos mains sur la touche PLAY pour le nouveau single du duo MUTINE
Après leur titre énergique pour l'été prônant la tolérance, Fille ou garçon, le duo français Mutine, qui est en passe d'attirer plus encore les limelights puisqu'il est aux manettes du nouvel album de Jenifer à sortir la semaine prochaine, se prépare à sortir son second single, Pose tes mains, et nous avons déjà droit à la lyrics video officielle, déjà superbement animée, et qui nous permet de découvrir en intégralité ce nouveau tube en devenir. Moins rentre-dedans que Fille ou garçon, Pose tes mains n'en est pas moins séduisante et en fait, beaucoup plus consensuelle pour les radios. La mélodie des couplets, répétitive sans lasser, se retient bien, et le refrain en deux parties l'est plus encore, devenant quasiment hypnotisant le temps qu'on arrive à la fin de la chanson. En ce qui me concerne, je suis direct sous le charme.
Il faut dire qu'entre le talent aux claviers/consoles de Silvio et la voix de sirène de Manon, (et j'occulte la partie visuelle sinon je ne serais plus en état de finir mon post AAAHHH! ce look qui tue...), difficile de ne pas succomber ! J'espère que Mercury/Universal ont prévu de sortir tout un album en CD avant Noël sinon je ne réponds de rien. Déjà, dès que Pose tes mains sera dispo sur iTunes, je l'achète direct comme je l'avais fait pour leur premier single, mais en plus, j'ai peur que le manque, en cas de sortie d'album qui traîne en longueur, ne m'oblige à descendre dans le sud cambrioler leur studio, leur disque dur, leur iPod, leur ...je ne sais quoi encore qui traînerait là pour me shooter les tympans au son de cette douce mutinerie sonore et sensuelle, ennivrante comme un nectar sucré qui vous remplit de bonheur et volupté...
Il faut dire qu'entre le talent aux claviers/consoles de Silvio et la voix de sirène de Manon, (et j'occulte la partie visuelle sinon je ne serais plus en état de finir mon post AAAHHH! ce look qui tue...), difficile de ne pas succomber ! J'espère que Mercury/Universal ont prévu de sortir tout un album en CD avant Noël sinon je ne réponds de rien. Déjà, dès que Pose tes mains sera dispo sur iTunes, je l'achète direct comme je l'avais fait pour leur premier single, mais en plus, j'ai peur que le manque, en cas de sortie d'album qui traîne en longueur, ne m'oblige à descendre dans le sud cambrioler leur studio, leur disque dur, leur iPod, leur ...je ne sais quoi encore qui traînerait là pour me shooter les tympans au son de cette douce mutinerie sonore et sensuelle, ennivrante comme un nectar sucré qui vous remplit de bonheur et volupté...
mercredi 5 septembre 2012
Le prochain album de Kylie pour le 29 Octobre ...Enfin !
Enfin... ! ça y est, les enregistrements que la belle australienne a faits en 2011 au mythique studio Abbey Road à Londres se concrétisent sur un album, The Abbey Road Sessions, à paraître juste à temps pour le rush de Noël, le 29 Octobre prochain.
Cet album est en fait un nouveau Best of des meilleurs hits de Kylie Minogue, ré-enregistrés avec un orchestre philarmonique et donc en versions accoustiques ou symphoniques. A noter un inédit et futur single, Flower. Voici les titres retenus :
Cet album est en fait un nouveau Best of des meilleurs hits de Kylie Minogue, ré-enregistrés avec un orchestre philarmonique et donc en versions accoustiques ou symphoniques. A noter un inédit et futur single, Flower. Voici les titres retenus :
01 | All The Lovers | |
02 | On A Night Like This | |
03 | Better The Devil You Know | |
04 | Hand On Your Heart | |
05 | I Believe In You | |
06 | Come Into My World | |
07 | Finer Feelings | |
08 | Confide In Me | |
09 | Slow | |
10 | The Locomotion | |
11 | Can't Get You Out Of My Head | |
12 | Where The Wild Roses Grow | |
13 | Flower | |
14 | I Should Be So Lucky | |
15 | Love At First Sight | |
16 |
Never Too Late
|
Si Kylie avait déjà pris l'habitude de ré-interpréter downtompo ses anciens hits en concert, façon piano-bar jazzy, il ne manque finalement à mon bonheur que Wouldn't change a thing ou encore Bury me deep with love que j'aurais adorer entendre ré-enregistrés. I should be so lucky, I believe in you ou Better the devil you know existent déjà en version de ce style donc on sait à quoi s'attendre, et même si je n'aurais pas apprécié de la même manière un album de reprises jazzy s'il s'était s'agit de titres oldschool que je n'aime pas forcément, là, basé sur les titres les plus forts de son répertoire, je n'ai aucun doute et sais que je vais ADORER ce concept album sensé clôturer en apothéose cette année 2012 célébrant les 25 ans de carrière de Kylie, avant qu'un nouvel album studio "pop" suive en 2013.
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