Cheryl Cole a repris le chemin des studios et son nouvel (et troisième) album solo depuis l'éclatement du girlsband anglais made in Popstars Girls Aloud, A million lights, est annoncé pour le 18 Juin prochain. En préambule, la belle a suivi la route tracée par la chanteuse number one actuelle Rihanna en confiant son destin au producteur électro Calvin Harris, qui lui a concocté l'ultra-vitaminé Call my name, qui devrait sans nul doute (je ne prends pas grand risque) être un tube de plus pour la charmante donzelle, plus célèbre pour sa plastique et sa participation comme jurée à la version anglaise de X-Factor que pour son brin de voix.
N'empêche que dans la video, cette victime de la mode, plus souvent glamour et fashion dans les magazines, n'a pas peur du ridicule : le clip démarre doucement, en suivi de la belle en bas et cuisses tatouées (berk!) avec un haut improbable multicolore marchant comme sur un catwalk au beau milieu d'une conduite d'évacuation des eaux usées comme il en pleut dans les films américains style Fast & Furious. Elle retrouve son gang à l'extérieur en pantalon fleuri plus ridicule encore (si c'est ça la mode, je meurs!) et ils se révèlent être de supers danseurs puisqu'ils entament une choré urbaine derrière elle, qui ne manque pas une occasion de presser ses mains sur ses seins, qui débordent de son petit haut citron, pour mieux les (nous) exciter sans doute. Cependant, il n'y a guère que les scènes en gros plan devant un mur de miroirs où je la trouve vraiment sexy et surtout classe...
Heureusement, la chanson bénéficie d'une rythmique qui claque, d'arrangements très dance années 90 remis au goût du jour version électro 2012, et le refrain se retient bien. En live, je crains que la belle s'époumone vite si elle veut conserver sa choré en plateau mais heureusement, elle est habituée au playback ! Je suis quand même curieux de savoir si ce titre, qui ne bénéficie pas de sa présence actuelle au sein du télé-crochet anglais qui l'a bien exposée médiatiquement parlant par le passé, saura atteindre la première place tant espérée par miss Cheryl Cole (au fait, depuis son divorce d'avec son footballeur, ne devrait-elle pas reprendre son nom de jeune fille : Tweedy?) et sa maison de disques...
N'empêche que dans la video, cette victime de la mode, plus souvent glamour et fashion dans les magazines, n'a pas peur du ridicule : le clip démarre doucement, en suivi de la belle en bas et cuisses tatouées (berk!) avec un haut improbable multicolore marchant comme sur un catwalk au beau milieu d'une conduite d'évacuation des eaux usées comme il en pleut dans les films américains style Fast & Furious. Elle retrouve son gang à l'extérieur en pantalon fleuri plus ridicule encore (si c'est ça la mode, je meurs!) et ils se révèlent être de supers danseurs puisqu'ils entament une choré urbaine derrière elle, qui ne manque pas une occasion de presser ses mains sur ses seins, qui débordent de son petit haut citron, pour mieux les (nous) exciter sans doute. Cependant, il n'y a guère que les scènes en gros plan devant un mur de miroirs où je la trouve vraiment sexy et surtout classe...
Heureusement, la chanson bénéficie d'une rythmique qui claque, d'arrangements très dance années 90 remis au goût du jour version électro 2012, et le refrain se retient bien. En live, je crains que la belle s'époumone vite si elle veut conserver sa choré en plateau mais heureusement, elle est habituée au playback ! Je suis quand même curieux de savoir si ce titre, qui ne bénéficie pas de sa présence actuelle au sein du télé-crochet anglais qui l'a bien exposée médiatiquement parlant par le passé, saura atteindre la première place tant espérée par miss Cheryl Cole (au fait, depuis son divorce d'avec son footballeur, ne devrait-elle pas reprendre son nom de jeune fille : Tweedy?) et sa maison de disques...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire